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il y a 7 ans
Depuis quelques temps, une nouvelle voisine s'est installée sur le pallier d'en face. Je ne l'ai que très peu croisée et d'ordinaire cela ne m'aurait pas interpellée. Plutôt rangée, mariée, sage et bonne mère de famille, je n'ai jamais vraiment pris le temps de regarder les autres. Mais la, je me surprenais à regarder par l'oeillet de ma porte d'entrée dès que j'entendais du bruit.
Comment était-ce possible, je mis ce comportement sur le dos de la curiosité. Pourtant une fois mon cœur se mit à battre la chamade alors qu'elle regardait du coté de ma porte comme si elle avait vu à travers. Il faut remonter au moins à ma prime jeunesse pour retrouver de tels sentiments. Elle m'avait peut être découvert, j'étais honteuse mais j'adorais, je dois bien le reconnaître.
Quelques jours plus tard, tandis que je composais mon code sur l'interphone en bas de l'immeuble, un taxi déposa ma voisine. Le taxi ouvrit le coffre et en sortit de nombreux sacs de courses. Naturellement, je proposais à ma voisine de l'aider à porter ses sacs. "c'est très gentil merci, je crois qu'on habite en face non ?" Je répondis oui. J'étais sous le charme de cette femme. Il émanait d'elle quelque chose de spécial. Une allure, un parfum, une voie... rien de vulgaire, rien de trop snob... Le juste milieu. La suite était surréaliste, je me suis retrouvée à la suivre avec tous ses paquets tandis qu'elle n'en portait aucun : "Je vais nous appeler l'ascenseur" Mon sort était scellé. Je n'en savais rien à ce moment précis... Dans l'ascenseur nous avons discuté de rien d'intéressant. Elle m'a demandée de déposer les paquets chez elle.
Je voulais voir son intérieur, capter quelques intimités de cette voisine. Je ne me suis même pas posée de question quand au fait que je portais seule ces paquets. "on prend un café ?" comment refuser, il n'y avait rien d'anormal dans cette invitation et j'en étais ravie. Après quelques discussions j'ai appris qu'elle s'appelait Anne. Tandis que l'on bavardait, je lui ai demandé si on pouvait se tutoyer, comme nous étions voisines cela allait de soi. "je veux bien te tutoyer, mais toi tu me vouvoies, j'aime bien qu'on me vouvoies". Ce fut pour moi comme si elle m'avait donné une gifle.
Que répondre. Cette femme était non seulement bouleversante visuellement, elle l'était aussi dans son comportement. Je ne sais pas pourquoi, mais a ce moment j'étais comme ivre. Elle aurait pu faire ce qu'elle voulait de moi. Je n'avais jamais ressenti cela dans le passé, et encore moins pour une femme. Je continuais donc en la vouvoyant, et je me hasardais à l'interroger sur la configuration de son appartement. "Tu sais, je crois que nous allons bien nous entendre en voisines. Je dois reconnaître que cela aurait un coté pratique de t'avoir à quelques mètres.
Dommage que je n'ai pas le temps cet après-midi, on aurait pu développer notre conversation et pourquoi pas savourer quelques bons moments ensemble. La semaine prochaine, même heure nous continuerons notre conversation". Par cette phrase elle me jetait dehors, mais il y avait tant d'équivoque que j'étais dans un état ! En passant la porte elle me dit dans l'oreille "attention ma belle, si jamais nous reprenons cette conversation, je suis plutôt du genre sévère, si tu viens c'est en connaissance de cause". De retour chez moi, j'étais complètement bouleversée, quelle était la signification de tout cela. Surtout, soyons franche, je restais sur ma faim. Un sentiment immense de frustration, un mélange de plaisir, de révolte. J'ai filé sous la douche pour me reprendre. Je n'allais quand même pas tomber amoureuse d'une bonne femme. Ce n'était pas moi.
Une fois la douche passée, je me dis qu'après tout, tout cela n'était pas bien important. Advienne que pourra, j'étais une personne adulte et je saurais très bien gérer cela. Et si je devais aller plus loin avec ma voisine, cela n'avait pas beaucoup d'implication. Je pouvais même m'être imaginée à tord des choses, tout cela était gérable. Je me dis même qu'il fallait profiter de ces instants, car ils ne se représenteraient pas de si tôt. J'étais rayonnante quand mon mari et mes e n f a n t s sont rentrés. Inutile de préciser que cette fois j'étais passée en mode espionnage de ma voisine. Je surveillais le pallier en permanence. Je la vis le lendemain soir rentrer chez elle accompagnée d'un homme. Cela me dérangea et me confirma que j'étais tout simplement amoureuse de cette nana.
A la bonne humeur de la veille, suivit une humeur maussade. Que faire ? Pour finir de me traumatiser, je trouvais le lendemain dans ma boîte à lettres une grosse enveloppe épaisse sur laquelle était simplement écrit : pour Marie. Je l'ouvris dans le hall de l'immeuble me demandant bien ce que cela pouvait être. A l'intérieur, il y avait un emballage transparent avec quelque chose dedans et un post-it collé dessus. Sur le post-it, un mot qui disait "Lorsque tu viendras, j'exige que tu la portes. D'ici la, comme elle est neuve, arranges toi pour lui donner une odeur un peu plus féminine. Elle se porte comme une culotte traditionnelle...". J'ai retourné l'emballage et compris ce qu'il contenait. Une authentique culotte de plastique. De retour à mon appartement, j'ai sorti la culotte. C'était une couche-culotte à pression comme j'en avais portée quand j'étais bébé, mais taille adulte.
Comme j'ignorais jusqu'à l'existence d'un tel objet, je fus complètement déboussolée. Se moquait-elle de moi. Il fallait tout de même que j'essaie. Hors de moi, j'ai enlevé mon pantalon et je me suis langée debout. Je n'étais pas très adroite pour fermer les boutons pressions et quand j'en fixais un, l'autre sautait. Je finis par m'asseoir et j'arrivais a mes fins. Le clic des boutons pression m'avait ramené plein de souvenirs. Quelle étrange sensation. La taille était juste, mais les élastiques de meurtrissaient juste un peu la chair pour que je ne puisse pas vraiment les oublier. Le contact du plastique sur mes fesses était plutôt agréable. A ce moment je n'aurais pas su dire si j'aimais ou je n'aimais pas cette culotte. Je suis allée me regarder dans la glace et là, par contre, je me suis sentie ridicule.
Une couche-culotte comme cela, c'était pour les personnes âgées et d'ailleurs j'ai décidé d'uriner dedans pour voir. J'ai du insister, car cela n'était pas naturel pour moi. L'étanchéité n'était pas au rendez-vous et j'ai du courir à la salle de bain pour vider complètement la couche dans la baignoire. Aucune sensation, bien au contraire. Je me suis donc essuyée, balancer la couche dans la machine à laver fermement décidée à mettre les points sur les i à ma voisine qui sans aucun doute se moquait de moi. Mais la nuit, au coté de mon mari dans le lit, je n'arrivais pas à dormir.
Je repassais la phrase du post-it dans ma tête. Et j'aimais bien l'idée d'avoir trouvé chaussure à mon pied. Cette femme avait tout pour être une bonne copine. En fait, elle était très naturelle et j'avais bien aimé être avec elle. Tout ce qu'elle m'avait dit, je l'avais fait sans me poser de question. Pourquoi ne pas simplement lui expliquer mon tourment. Bilan, le soir suivant, comme un rituel je me suis relevée une fois mon mari endormi, et suis allée me langer à la salle de bains. J'ai passé une très bonne nuit. Le lendemain, je me suis rendu normalement à mon travail. Ce matin là, j'ai retiré la couche-culotte dans la salle de bains, et j'étais ravie des marques que les élastiques avaient fait sur mon corps. Quant à la couche-culotte, à ce rythme, il ne faisait pas de doute qu'elle allait prendre une odeur un peu plus féminine rapidement. Je venais de comprendre le sens du post-it.. Le jour j, pleine de doutes, je me mis sur mon 31.
Bien décidée à ramener la culotte de plastique à ma voisine comme demandée, mais bien décidée à mettre les points sur les i et à ne pas la porter. En coupant la poire en deux, nous finirions bonnes copines et c'était la bonne solution à mon avis. Je sonne, elle m'ouvre : "rentres vite, ma belle voisine". Je rentre, elle me regarde de haut en bas. Mon paquet avec la couche bien pliée à l'intérieur, à la main. Je suis gênée... "allons prendre un café à la cuisine". Tout se passe comme si nous nous connaissions depuis toujours. C'est incroyable... je me lance, et explique que j'ai essayé la culotte, que je l'ai portée la nuit pour lui faire plaisir, mais que je lui ramène, que je crois que c'est mieux de ne pas aller plus loin, que je serais ravie que nous soyons deux bonnes copines...
Elle me sert un café sans me répondre puis sort la couche culotte de son emballage et me dit : "tu as joui en la portant". Je crois que je suis devenue rouge pivoine, jamais personne ne m'avait demandé une telle chose. Je n'eus pas le temps de m'énerver que déjà elle passait à la suite : "bon nous verrons cela plus tard. J'ai un contrat à te faire signer. Réfléchis bien, c'est un papier important. Sinon ne t'inquiètes pas, nous ferons de bonnes copines comme tu le souhaites. Ca me ferait plaisir moi aussi de t'avoir comme amie".
J'étais ravie, et plutôt fière de moi à cet instant. "pour le contrat, ce sont juste des jeux entre copines. Je m'absente 1 minute, cela te laisse le temps de signer.". Elle sortit et me laissa seule dans la cuisine. Le contrat stipulait ni plus ni moins que je luis appartenais pour son bon plaisir. Tourné en Français littéraire, il était bien écrit. Rien de vulgaire, une sorte de littérature érotique qui me mit le feu au ventre. Je savais que je mourrai de regrets si je ne le signais pas. Anne visiblement aussi, puisqu'à son retour elle ne regarda même pas si je l'avais signé, et je l'avais bel et bien signé.
Elle prit le papier et le déposa sur un meuble de la cuisine. Elle se rassit, et me proposa un verre d'eau pour accompagner mon café. Nous étions toutes les deux autour de la table de la cuisine à boire notre café. "Maintenant que les choses sont claires, lève toi et viens prés de moi debout". Je m'exécutais, hypnotisée. "Tourne toi". Elle m'inspectait comme du bétail en buvant son café. "tu es très en beauté, c'est très bien, tu devras toujours te faire belle pour ta maitresse. Allez fous toi à poil que je vois ma nouvelle poupée".
Jamais personne ne m'avait adressé la parole de cette façon. J'étais hésitante mais je n'avais pas remarqué qu'elle était revenue avec une cravache. Cela lui donnait un charisme encore plus poussé. Comme j'hésitais..; "tu as vraiment beaucoup à apprendre avant de me mériter comme maitresse. Elle se leva de sa chaise, passa derrière moi, pris mes mains et les plaça sur ma tête. "tu ne bouges pas".
Elle déboutonna mon jean, fit glisser mon pantalon non sans passer sa main entre mes cuisses. Mon chemiser, mes chaussures et mes mi bas suivirent. J'étais en soutien gorge à balconnet et en slip. Elle passa devant moi, me prit par les hanches et m'embrassa comme jamais on m'avait embrassée. Mon premier baiser de femme restera à jamais gravé dans ma tête. C'était divin. Mais elle se rassit. J'avais tout aimé, elle avait su ne pas aller trop loin. Je n'aurais pas voulu qu'elle m'enlève mes sous vêtements à ce moment. Je ne sais pas pourquoi. Une nouvelle fois elle avait visé juste. Elle prit la couche-culotte et la déplia sur la table. "Allez ma belle, allonges toi sur la table". En disant ces mots, elle m'accompagnait pour me guider. Je me suis retrouvée sur la table de la cuisine, allongée sur le dos.
Ma maitresse cette fois m'a fait soulever les hanches, a fait glisser mon slip pour le retirer et m'a langée comme elle l'aurait fait avec sa poupée. Sauf que j'étais la poupée. Puis elle m' fait mettre debout et s'est placée derrière moi. Elle a dégrafé mon soutien gorge, l'a retiré et m'a attachées les mains dans le dos. De toute façon je n'étais plus qu'un pantin balbutiant des « non » pas ça à demie inconsciente. C'était des « non » qui disaient "vas y encore, plus loin, je suis vaincue, je suis à toi. Ce jour la j'ai découvert une autre sexualité. J'ai joui, pleuré à maintes reprises. J'ai connu la honte de voir mes tétons durcir et s'ériger alors qu'une autre femme les maltraitait. J'ai connu la honte de jouir comme une chienne portant un collier de chienne et une laisse. Chaque fois qu'elle sentait que j'étais a bout de nerfs, ma maitresse me réconfortait, me câlinait comme seule une femme sait le faire. J'étais bien dans ses bras. Mais je voulais lui donner moi aussi du plaisir.
Pour cela j'ai été fouettée, cravachée, promenée en laisse.. Il me manquait quelque chose et ma maitresse le savait. Alors elle m'a fait mettre debout contre la table. Les mains liées dans le dos je ne pouvais pas me baisser pour lui présenter ma croupe. Elle m'a aidée à me plier et à poser ma poitrine contre la table, les fesses à sa merci. Puis elle a disparu un instant pour revenir cette fois dévêtue avec un gode dans les mains. Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis dit que seule une authentique lesbienne pouvait posséder tout cet attirail et cela me dérangeait de faire l'amour avec une lesbienne.
Et me voila en train d'expliquer dans ma position incongrue que j'étais mariée, que j'adorerais vraiment qu'elle utilise son gode avec moi, mais qu'après elle pourrait se faire de fausses idées sur notre relation. Vraiment étonnant sachant qu'on venait de passer en temps record à des jeux sexuels, que j'avais jouis un nombre incalculable de fois avec elle. En, la voyant maintenant dévêtue, je ne pouvais m'empêcher d'admirer son beau corps. "Tu mériterais que je te foute à la porte. Mais je crois que nous sommes faites pour s'entendre.
Je n'ai qu'à claquer du doigt pour te remplacer. Mais les lesbiennes ont en commun avec les hommes, le fait que si je m'occupe d'elles une seule fois, après elles deviennent insupportablement collantes. Rassures toi, je ne veux certainement pas que tu emménages chez moi, et le fait que tu sois mariée me convient bien. J'ai moi aussi des obligations.". J'étais terrorisée d'avoir brisé le charme, mais il en fallait plus pour déconcerter ma nouvelle maitresse qui maintenant était en train de harnacher avec le gode ceinture. L'image était diablement sexy.
Elle disparut à nouveau. De retour elle me dit : "tu parles trop, ça me dérange, alors ouvres ta bouche de salope". C'est la première fois qu'elle employait un mot du genre. Et il me mit étonnement le feu au ventre. Elle m'enfourna une boule dans la bouche qui était reliée à des s a n g les en cuir qu'elle accrocha derrière ma tête. J'avais déjà vu ces baillons sur des photos mais c'était encore quelque chose de nouveau pour moi. C'était écœurant plus que plaisant et j'étais toujours les mains liées, le ventre sur la table de la cuisine, les fesses en l'air dans ma couche-culotte de plastique trempée de mes secrétions. Finalement, seul mon sexe n'avait pas encore subit les outrages de ma maitresse. Le reste de mon corps et mon esprit avaient été caressé, pincé, fouetté, humilié.
Ma maitresse écarta l'élastique de la couche, me dit que jamais elle n'avait vu une couche dans un tel état, que j'étais juste une pute qui devait se branler souvent pour mouiller de la sorte. Le gode me pénétra sans aucune résistance. Ma maitresse me pistonna comme un homme qui aurait eu beaucoup d'expérience. Pas de précipitations.. Je voulais hurler que c'était bon, qu'elle continue mais le bâillon m'en empêchait et me f o r ç a i t a grogner comme une truie. Ma maitresse détacha le bâillon et m'a dit "dis moi que tu es une grosse salope, que tu m'appartiens, que tu es une salope". J'ai hurlé...
Elle a fait sauter les pressions de ma couche, l'a tirée et me la fourrée en entier dans mon sexe à coups de godes. C'est alors que j'ai eu mon dernier orgasme de cette folle après-midi. "Je crois que nous avons fait connaissances, je garde ta couche-culotte pour la faire sécher correctement. Il faut que tu rentres te pomponner et te faire toute belle pour ta famille". Vraiment magnifique, jusqu'à la fin elle se montrait parfaite. Sans même me laisser le temps de me rhabiller, elle m'a mise dehors avec mon tas d'habits. Pas le temps de se parler. Je n'avais que deux mètres à faire heureusement pour rentrer chez moi.
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